Entre Michel Rocard et Robert Chapuis, une forte complicité s’était établie au fil des années et du travail engagé collectivement, au PSU d’abord, puis plus tard au gouvernement.
En témoigne cette missive bienveillante du premier au second, datée du 7 février 2004 et lue le 15 septembre dernier, à la tribune du colloque « Michel Rocard, Une pensée, une action » organisé à l’Assemblée nationale, par un Robert Chapuis ému de la disparition de « l’un de ses plus vieux potes » – comme se plait à l’appeler le Premier ministre dans la lettre.
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